Archive for décembre 2010

Percy Jackson – Tome 5 – Le dernier des Olympiens

16 décembre 2010

de Rick Riordan

Le dernier des Olympiens

Toute l’année, Percy et son armée de demi-dieux se sont préparés à affronter les Titans. L’heure est venue. Les troupes de Cronos avancent vers Manhattan où l’Olympe est en danger. Tandis que Percy et ses amis luttent, ils savent que le temps est compté. La prophétie va s’accomplir : Percy prendra une décision qui condamnera ou sauvera le monde…

Je ne vais pas vous faire une critique pour chacun des tomes… A part à vouloir décortiquer l’histoire en elle-même, je vous raconterais toujours la même chose… Mais je voulais faire un dernier article sur le sujet… parce que je viens de terminer la série et que je l’ai lu très très très rapidement 😀 (4 livres en 4 nuits, pas mal non ?)
Bon… ce n’est pas l’objet de cet article…
Je reste sur mon impression précédente… C’est une série jeunesse très chouette. Je vais l’offrir à mon garçon et je sais que mes deux ainés vont A-DO-RER…
Je suis enchantée d’avoir franchi le pas de cette lecture car je bloquais un peu… surtout à cause de l’étiquette Jeunesse…
Mais, clairement, c’est uniquement de la lecture jeunesse. Je reste aussi sur mon impression que ce type de livres, d’une façon générale, se lit bien trop vite pour un adulte et n’apporte pas énormément. Mon plaisir aura été celui de me remémorer la mythologie grecque, à laquelle j’ai voué une passion sans bornes à une époque de ma vie (mes parents, s’ils lisaient ce blog, seraient bien d’accord ;)) et surtout d’imaginer le plaisir que mes enfants auront à suivre ces aventures.

Utiliser la mythologie comme base est une idée extra. La placer dans notre monde actuel également. L’approche de ces dieux grecs est très bien faite… De grands gamins avec de grandes responsabilités… vivant aujourd’hui mais se croyant encore il y a 3000 ans dans certains de leurs actes… J’ai apprécié l’humour que l’auteur aura su intégrer tout au long de la série.

En fait, ce que je reproche à l’écriture globale de la série, ce sont des phrases trop simples, peu de constructions un peu complexes qui auraient donné du corps au texte et auraient accroché l’esprit tout en nous faisant travailler un peu les méninges. Mais encore une fois, je retiens que l’audience est un public jeune, disons entre 11 et 14 ans ?

Ça restera une série que je conseillerai pour cette tranche d’âge, car Percy Jackson est un bon gars, plutôt marrant par moment, bien humain, dépassé par les évènements la plupart du temps mais ayant de belles valeurs… Bref, un héros auquel mes enfants s’attacheront, et qui saura leur donner le goût de la lecture et notamment le goût de la littérature fantastique. Si c’est bien le cas, la mission sera accomplie avec succès !

Le dernier qui part ferme la maison

13 décembre 2010

de Michèle Fitoussi

Ler dernier qui part ferme la maison Michèle Fitoussi » Le Clos joli  » et  » La Pommeraye « . Deux maisons voisines dans un petit lieu-dit isolé de la campagne normande. Dans la première vit, solitaire, une vieille dame qui a pris sa retraite vingt ans plus tôt. Atteinte de la maladie d’Alzheimer, elle fugue cependant que ses filles, deux quadragénaires que tout oppose, se disputent sur la meilleure façon de s’occuper d’elle. L’autre maison, résidence secondaire de Parisiens en instance de divorce, devient par hasard ce week-end-là le théâtre d’un chassé-croisé de couples illégitimes. Pendant deux jours, tous et toutes vont se poursuivre en une ronde qui ressemble à la vie, compliquée et pleine de surprises. C’est une comédie contemporaine autour du blues des quadras : familles décomposées, parents qui vieillissent mal, course à l’argent et à la réussite, poursuite illusoire de la jeunesse et de l’amour, malentendus et mensonges. Ecrit à plusieurs voix, le roman de Michèle Fitoussi, pelote finement serrée de sentiments à vif, de secrets trop longtemps gardés, croque, entre humour et émotion, des personnages qui nous ressemblent tant.

 

J’ai choisi ce livre parce que le titre m’a interpellé.

Il se lit très vite, chaque chapitre suit un personnage particulier de cette histoire et apporte donc son point de vue ainsi que des éclairages du passé pour expliquer le présent. On oscille entre le vaudeville et le sérieux. Vaudeville par les situations mises en scène… Hélène et Thomas sont séparés et décident, le même week end, d’aller passer la nuit dans leur maison de campagne avec leurs partenaires du moment, caractères bien originaux et puants… Il s’ensuit bien évidemment jalousie et petites bassesses en tous genres. D’autant que la maison voisine, où habite Yvonne, atteinte de la maladie d’Alzeihmer est elle-aussi le théâtre, ce même week end, d’évènements plus dramatiques. Elisabeth, la fille ainée et Patricia la plus jeune, en complet désaccord sur la façon de gérer la maladie de leur mère, vont devoir unir leurs forces pour retrouver Yvonne qui vient de fuguer.

Comme le dit la 4ème de couverture, c’est une sorte de ronde que ce livre… Impression renforcée par la narration qui passe de l’un à l’autre des personnages. La vie est si compliquée, si déstabilisante. Les secrets font tant de mal quand on les garde si longtemps enfouis en soi.

C’est un livre intéressant, avec beaucoup d’émotion et pas mal d’humour. Il me semble que certains points auraient mérité d’être approfondis, notamment car on s’attache aux deux sœurs et à leur bataille pour garder leur mère dans des conditions de vie « respectables ».

Une découverte bien sympathique.

Percy Jackson – tome 2 – La mer des monstres

10 décembre 2010

de Rick Riordan

Percy Jackson 2 La mer des monstres Rick Riordan

Être le fils de Poséidon, un honneur ou une cruelle plaisanterie ? Lorsqu’une simple partie de foot se change en bataille contre un gang de cannibales géants, Percy le demi-dieu a un terrible pressentiment… Comme le lui annonçaient ses étranges cauchemars, les frontières magiques qui protègent la Colonie des Sang-Mêlé sont empoisonnées. Pour sauver leur domaine, Percy et ses amis devront parcourir la mer des Monstres, qui porte bien son nom.

Je viens de lire ce deuxième tome des aventures de Percy Jackson, dans le cadre de la lecture commune lancée sur Livraddict.

J’avais acheté la série pour mes enfants (mais avec la ferme intention de les lire bien entendu 😉 ) et l’occasion faisant le larron… Hop, j’ai commencé la première !

Je vais vous donner mon avis de trois façons pour changer un peu…

Mon avis à moi, adulte et lectrice de livres « adultes »… Oui, mais bof… Oui, à cause de tout ce que je dirais plus bas… et aussi parce que il y a une forme d’humour et de d’auto dérision tout au long du livre qui m’a plus et toujours balancé les côtés « bof ».

Bof, parce que cette lecture n’aura pas apporté grand chose à l’adulte qui est en moi (la majeure partie du temps, si si !!), notamment parce que le style d’écriture est très, voire trop simple (évidemment me direz-vous, puisque c’est un enfant qui raconte… oui mais bon….).

Bof également parce que j’ai franchement eu l’impression par moment de lire une adaptation de Harry Potter au pays des légendes grecques… Le principe est tellement similaire… Un jeune garçon dans la dizaine qui se découvre des dons particuliers (et une ascendance bien spéciale), qui découvre l’existence d’un monde fantastique en parallèle du monde « réel » de vous et moi, qui part faire son apprentissage de sa seconde nature dans un lieu magique et caché (le château de Poudlard est remplacé par une « colonie de vacances »)… sur place aussi, la similarité est frappante, des « équipes » rivales, dans cette victoire, dépendant du dieu géniteur… etc etc etc… Un livre par année… Une prophétie… Une méconnaissance naïve de ce monde parallèle…

Bref, un peu trop de simplicité et de facilité pour… l’adulte que je suis…

Je suis peut être une adulte, MAIS je suis aussi et surtout grande fan de tout ce qui a trait au fantastique ET une immense fan de mythologie… Alors cette partie de moi a beaucoup aimé. A la « surprise » de la rencontre du premier tome succède le plaisir de découvrir de nouveaux personnages… dans les dieux de l’Olympe, et dans les compagnons de Percy. Les parallèles avec la mythologie sont nombreux, bien sûr, mais leur adaptation dans la vie d’aujourd’hui est vraiment bien faite, parfois même avec humour ou dérision.

ET ENFIN je suis aussi une maman… Et en tant que maman, j’ai hâte que mes enfants lisent les histoires de Percy Jackson. Parce que je suis persuadée qu’ils vont ADORER ! Parce que cela leur donnera l’occasion de découvrir la mythologique grecque, parce que cela fera peut être même naitre un intérêt pour ce sujet ! Enfin et surtout parce que cette série leur donnera encore plus le goût de lire et que rien pour cette toute petite raison de rien du tout, Percy Jackson me plaît !

L’énigme du retour

8 décembre 2010

de Dany Laferrière

Un livre audio lu par Dany Laferrière, chez Audiolib

« La nouvelle coupe la nuit en deux.
L’appel téléphonique fatal
Que tout homme d’âge mûr
Reçoit un jour
Mon père vient de mourir. »

Le narrateur décide alors de revenir dans son pays natal, Haïti, dont il avait été exilé par le dictateur du moment. Et le voilà sur les traces de son passé, de ses origines. Un périple doux et grave, rêveur et plein de charme, qui lui fera voir la misère, la faim, la violence mais aussi les artistes, les jeunes filles… L’espoir, peut-être.

Nul mieux que Dany Laferrière lui-même ne pouvait exalter la poésie à la fois luxuriante et intime de ce superbe roman.

 

Je me lance dans le Défi des Auteurs canadiens. Je vous présente l’Enigme du retour. Ce n’est pas mon premier roman canadien mais j’avais envie de commencer le défi par ce livre à la fois canadien, québécois et haïtien pour coller à l’actualité. Ma modeste contribution en somme, ma petite solidarité à moi.

J’ai adoré ce roman à la limite de l’essai philosophique. Un voyage à la découverte d’Haïti, vivant, coloré, chaud, et une introspection intense, intime, une réflexion sur l’exil et le retour, un thème omniprésent dans cette société canadienne composée d’immigrants plus ou moins de passage.

J’ai trouvé l’écriture de Dany Laferrière intéressante et hors du commun avec une succession de styles différents. Tantôt des passages brefs, saccadés avec des phrases courtes, parfois même sans verbe, tantôt de longs récits et des descriptions avec de longues phrases. Cela donne beaucoup de rythme et de profondeur au livre. On ressent les bruits, les odeurs et les couleurs tout comme la douleur de la séparation, de l’absence du père, le courage et la souffrance de la mère.

J’ai opté pour le livre lu par l’auteur. La voix chaude de Dany Laferrière vous plonge dans la chaleur des Caraïbes. Vous êtes vraiment dans sa peau, dans sa tête. C’est un livre qui fait à la fois voyager et réfléchir. C’est beau, c’est poétique, c’est vivant et touchant. A vos écouteurs !

Sans rien ni personne

7 décembre 2010

de Marie Laberge

sans rien ni personne Marie Laberge

Une très très belle découverte pour moi. Je ne connaissais pas Marie Laberge autrement que de nom. Et je suis enchantée d’avoir fait cette première « rencontre » dans le cadre du Défi des Auteurs Canadiens et avec ce livre.

Ce policier met en scène un commissaire français, en charge du département des Cold cases… et une enquêtrice québécoise, Vickie Barbeau, elle aussi dans un département de « cold cases ». Le père d’une jeune femme française, trouvée assassinée à Montréal quelques trentes années plus tôt, fait une demande ultime de reconsidérer le cas et Patrice Durand décide sur la base de quelques « indices » apportés par le père éploré de donner une chance à cette enquête.

Le livre suit cette enquête faite par Patrice etVickie, sur les traces de Marité, recherchée pour son rôle de témoin potentiel dans cette affaire…

J’ai beucoup apprécié cette enquête pour plusieurs raisons. La première étant d’ailleurs le fait que ce soit un cold case… Je n’avais jamais lu de policier basé sur ce type d’enquêtes. Très rapidement, une autre victime apparait dans l’intrigue, en la personne de la petite fille de Marité. La description des lieux est très bien faite et l’on sent bien que cette auteure écrit la plupart du temps « autre chose » que du policier.

En ce qui concerne l’aspect policier, tout est décrit avec beaucoup de pudeur et de retenue, ce que j’ai apprécié car je ne suis pas une grande fan des descriptions gores ou très précises… mon imagination étant ce qu’elle est, je n’ai besoin de que peu de mots pour visualiser déjà pas mal d’horreurs ! En fait, il ne faut pas croire que ce soit pour autant édulcoré… Oh non… En jouant sur le registre des émotions… Marie Laberge arrive à nous faire comprendre tout ce qui s’est passé, dans toute son horreur… L’émotion du père qui ne s’est jamais remis de la mort de son enfant, celle de la petite fille, retrouvée adulte et racontant peu à peu et avec sa pudeur de victime ce qu’elle a vécu, celle enfin des deux enquêteurs et des témoins, qui lèvent peu à peu le voile sur toute l’horreur de cette affaire… C’est cette ensemble qui apporte au livre un intérêt particulier et qui m’a énormément plu… au point de me faire oublier mon côté franchouillard qui s’est quand même un peu vexé de voir mon compatriote présenté de la sorte… 😉  Mais je ne vous en dis pas plus, ce côté un peu cliché n’apporte pas grand chose, à mon avis au livre…

Ce n’est peut être pas le polar du siècle, mais c’est un roman policier bien construit qui parle de sujets difficiles et remue autant qu’il subjugue… Pas de suspense haletant (je me suis doutée de une ou deux choses assez rapidement), mais une écriture intéressante et des personnages attachants.

Je lirai très rapidement un autre livre de cette auteure.

Les récifs de l’espace

3 décembre 2010

de Frederick Pohl et Jack Williamson

Les récifs de l'espace

Steve Ryeland savait qu’il avait enfreint gravement l’Ordre du Plan, mais il ne parvenait pas à se rappeler la nature de son crime. Il portait autour du cou un collier d’acier muni d’une charge explosive, prêt à le décapiter à la moindre tentative d’évasion. de ce qui avait motivé sa détention présente seules lui revenaient quelques bribes de souvenirs torturants. Alors Steve, bien qu’encore prisonnier, se vit confier la tâche la plus importante du monde — mettre au point la propulsion sans réaction, pour permettre aux Forces du Plan de coloniser les Récifs de l’Espace, ces corps célestes à demi mythiques encerclant le système solaire au-delà de l’orbite de Pluton. Ryeland devait réussir à tout prix — ou bien connaître l’enfer de la Banque des Corps.

Voici un livre que j’ai choisi en 2 secondes pour le challenge Hasard(eux)… De la SF, une belle couverture, un vieux bouquin à 1.5 $… Voilà qui a suffit pour me convaincre 😉

A la manière du meilleur des mondes de Huxley ou du bonheur insoutenable de Levin, et de tant d’autres, le monde qui nous est présenté dans cet ouvrage est régi par un Plan, ici le Plan pour l’Humanité.

Chacun consulte à tout moment le Plan pour savoir ce que l’on attend de lui. Chacun a une fonction dans ce Plan, il n’y a plus de places pour les inutiles… Et ceux qui sont inutiles, ou inadaptés, ou inadaptables, se retrouvent à la Banque des Corps… Je vous laisse imaginer la fonction de ce bel endroit 😉

Steve fait partie des inadaptés… mais pour une raison quelconque, se retrouve à se rendre compte que quelque chose cloche. Et s’enfuit… mais vers quoi, vers où ? Y-a-t-il une Terre promise quelque part pour recueillir tous ceux qui arrivent à fuire le système ?

Voici toute l’intrigue des Récifs de l’Espace… Ce vieux livre, qui date quand même de 1978 (mon édition), m’a beaucoup plu… parce que l’on retrouve dans sa trame tout ce que généralement j’aime dans ce type de SF… Un monde « meilleur » sur le papier, qui se retrouve être un enfer pour les hommes « robotisés »… une quête d’autre chose… un personnage tourmenté et attachant… et un peu d’action quand même… et enfin, de la science en folie… beaucoup…

C’est très clairement de la vieille SF… Les auteurs de maintenant n’écrivent plus comme ça, ne construisent plus que rarement leurs intrigues de cette façon. Il n’en reste pas moins que j’ai passé un excellent moment malgré une fin un peu rapide et que pour mon deuxième livre de ce challenge, je suis très contente de mon choix !

L’élégance du hérisson

1 décembre 2010

de Muriel Barbery

L'élégance du hérisson - Muriel Barbery

« Je m’appelle Renée, j’ai cinquante-quatre ans et je suis la concierge du 7 rue de Grenelle, un immeuble bourgeois. Je suis veuve, petite, laide, grassouillette, j’ai des oignons aux pieds et, à en croire certains matins auto-incommodants, une haleine de mammouth. Mais surtout, je suis si conforme à l’image que l’on se fait des concierges qu’il ne viendrait à l’idée de personne que je suis plus lettrée que tous ces riches suffisants. Je m’appelle Paloma, j’ai douze ans, j’habite au 7 rue de Grenelle dans un appartement de riches. Mais depuis très longtemps, je sais que la destination finale, c’est le bocal à poissons, la vacuité et l’ineptie de l’existence adulte. Comment est-ce que je le sais? Il se trouve que je suis très intelligente. Exceptionnellement intelligente, même. C’est pour ça que j’ai pris ma décision : à la fin de cette année scolaire, le jour de mes treize ans, je me suiciderai.

J’ai relu ce livre dans le cadre d’une lecture commune de Livraddict. Je l’avais lu, il y a deux ans environ.

Je me souviens avoir eu du mal à entrer dedans la première fois… Cette fois-ci, l’effet de la découverte n’étant plus là, je n’ai pas eu ce problème.
J’étais et je reste très très mitigée…
Le livre est construit avec deux narrateurs, ce qui donne l’impression de lire deux journaux intimes en parallèle. Comme d’habitude, j’ai aimé le rythme que donne ce type de construction.
Mais, il y a un gros mais… Ces deux personnages que tout sépare, mais qui finalement se ressemblent tant sont à mon humble avis bien trop caricaturés.
C’est bien beau de nous montrer les différences culturelles entre individus, mais sur la base d’un préjugé gros comme une maison… c’est un peu lourd à digérer. Je parle bien sûr de Renée, concierge pleine de bon sens et très cultivée, alors que par « principe », elle devrait être inculte et stupide !
Par ailleurs, si l’auteure veut dénoncer cette caricature, je trouve qu’elle tombe souvent dans son propre piège avec des références littéraires quelque fois ardues…
Alors bien entendu, Renée est très attachante… Paloma est horripilante à souhait… Les secrets se dévoilent peu à peu… Beaucoup de choses touchent et poussent à la réflexion…
Mais non, malgré une relecture « sérieuse », je ne suis pas tombée sous le charme de ce livre, pas plus la première que celle-ci… Je ne l’ai peut être pas pris au bon degré…. Allez savoir…